Collection Histoire Courte. Maman M’A Trahi (1/1)

Je m’appelle Émeraude, oui, j’ai un nom de pierre précieuse, je vais avoir 20 ans et j’habite chez mes parents dans un immeuble cossu dans le quartier de l’Opéra.
Je fais des études à la Sorbonne pour intégrer l’ENA et les corps de l’État comme papa.
Je suis blonde et depuis quelques années, il m’est poussé des seins et un cul à faire pâlir les mâles de nos amis.
Parmi ces mâles, il y a Christophe, fils d’un couple d’amis de papa et qui comme moi veut suivre le chemin familial et gérer la France, il y a bien longtemps que je sais que je suis née avec une cuillère en argent.
Christophe a un an de plus que moi, il a bien essayé de me sauter, mais je suis d’un monde où les filles ne baisent que la bague au doigt et comme maman est fidèle à leur mari jusqu’à la fin de leur vie.

Maman, on peut dire qu’elle a eu une jeunesse difficile, elle a fait partie des mouvements de 1995 contre le contrat de première embauche et le Premier ministre étant resté célèbre, car droit dans ses bottes alors qu’elle était caissière dans une boutique près de la Sorbonne ou papa faisait ses études.
À ce qu’elle m’a dit, elle s’était trouvée entraînée lors d’une manif, sa patronne lui ayant demandé de baisser le rideau de fer, une bande de manifestants était passée et l’un d’eux lui avait saisi la main et l’avait entraîné dans leur course folle.
C’était papa, ils se sont retrouvé quelques mètres plus loin face aux CRS, qui ont chargé et qui les ont emmenés dans un poste de police de leur quartier.

« Faite l’amour pas la guerre, faite l’amour pas la guerre »

C’était ce que tous criaient sans savoir pourquoi, à part la guerre d’Algérie déjà terminée, ils ignoraient que ce slogan envoyé par certain, parlait de la guerre américaine au Viêtnam terminée elle aussi depuis bien longtemps.
Leurs identités relevées, papa, vu le rang de sa famille a été libéré, maman a été gardée, il a hurlé, vite rejoint par des copains devant le commissariat.



« Libérez nos camarades, libérez nos camarades »

Les flics ont pris peur du retour de bâton si ces petits bourges issus de familles huppées qu’ils voulaient renverser alors qu’ils en étaient les purs produits, ils ont libéré maman.
Faite l’amour, pas la guerre, c’est ce qu’ils ont fait dès qu’ils ont été seuls et je suis née ce qui a permis à maman d’entrer dans le grand monde, mais avec la haine de sa belle-mère qui avait des vues sur la fille de sa meilleure amie brillante étudiante n’ayant pas bougé pendant les manifestations.

Voilà le milieu et le climat dans lequel j’ai été élevé, pucelle à 20 ans, fiancée à Christophe avec lequel je n’échange que de profond baiser assorti de pelotage de ma poitrine.
Quand il essaye de contourner ma jupe avec sa main, je m’échappe, j’ai limité le problème en portant des pantalons chaque fois que je dois être avec lui, c’est plus difficile à enlever qu’un petit slip de fille sage.

La vie est belle, ma chatte me démangeant parfois, éteignant le feu qui est en moi avec ma main et un doigt sur mon clitoris, peu importe qu’à la fac dans mon dos, on me surnomme la pucelle.
Cette après-midi, je devais avoir cours de droit, mais le prof au dernier moment fait annuler la séance alors que nous sommes déjà dans l’amphithéâtre, j’ai un partiel demain, je décide de rentrer à la maison.
J’ai mes clefs, j’ouvre sans sonner, maman m’a parlé ce matin d’un essayage chez sa modiste et seule Germaine notre employé de maison doit être là, ce doit être elle qui nettoie le salon, car j’entends du bruit.

Stupeur, un couple baise sur le tapis, rapidement, je reconnais Christophe mon fiancé et je n’en crois pas mes yeux, maman est là à quatre pattes comme sont les chiennes en chaleur avec des mots dans sa bouche que je ne la croyais pas capable de dire.

• Baise-moi, tu es ma pute, ma chose, mets-moi ton pieu bien profond, gagne les 500 € que je te donne pour me baiser, comme chaque fois que je te fais venir en donnant congé à ma bonne.


500 €, elle paye mon fiancé pour la baiser, sur la table du salon à leurs côtés, 5 billets de 100 sont posés, le couple est déchaîné, je pourrais entrer, mais j’ai mieux à faire, je sors mon portable et fais un joli film.
Je suis déjà allé sur You-Porn, j’ai envie d’y mettre les images pour me venger.
Sur le tapis, maman veule comme la louve qu’elle est, une salope, ce serait plus juste, la bite de Christophe lui fait de l’effet alors que c’est à moi qu’elle était destinée.
Je le vois se tendre et décharger au « han, han, han » qu’il émet la tenant par les hanches.
Comme la chienne de nos amis que j’ai vu coller pendant les vacances, le couple s’effondre, maman dessous et Christophe comme le chien couché sur elle sans bouger.
Il se retire, remet son boxer et son pantalon, ramasse les billets qu’il met dans sa poche.
Alors que maman recommence à bouger, j’ai une meilleure idée, je bats en retraite et quitte notre appartement sans bruit, je suis assise sur le banc en face de chez nous quand Christophe sort.

• Émeraude, que fais-tu là sur ce banc.
• Je t’attendais, emmène-moi chez toi, tes parents sont bien absents.
• Oui, père est en déplacement avec le Président, les femmes sont du voyage, attention, nous serons seuls, mère a donné congé à la bonne, tu sais ce que tu risques.
• On verra, allons-y.

Quelques centaines de mètres, je suis chez lui, j’ai dit que nos mères sont amies et ont souhaité habiter de manière rapprochée.

• Allons dans le salon, votre tapis persan m’inspire, c’est le jumeau du nôtre, nos mères les ont achetés ensemble !

Je suis une fille de caractère, je me déshabille devant les yeux ahuris de Christophe, il doit se demander comment la petite fille sage semble devenir une fille pleine d’imprévue.

• Christophe, si tu veux me baiser, vide tes poches sur la table basse.
• Pourquoi, ferais-je cela ?
• Elles contiennent les billets que tu viens de gagner en faisant la pute avec ma mère, à mon tour de faire la pute, pour me baiser, ce sera 500 € chaque fois, comment veux-tu me prendre.

• Quelle preuve as-tu et à quoi peut-elle te servir.
• Que se passerait-il si cette jolie vidéo se retrouvait dans les mains de mon père ou de ta mère, est-ce qu’ils apprécieraient d’être cocu pour lui et que son fils se prostitue.
Écoute bien, ce que dit ma cougar de mère, c’est très explicite, ces nouveaux portables sont de haute qualité, on a l’impression d’être à dix centimètres de la bouche de celle que tu pilonnes en levrette.

Prestement, il att mon portable et avant que je n’aie le temps de faire quoi que ce soit efface le film.

• Je croyais épouser un premier de la classe, mais tu n’es qu’un jeune con, crois-tu que j’aie mis sous tes yeux ce film si riche pour moi me montrant ta trahison et celle de ma mère.
Quand je t’attendais sur mon banc, j’ai envoyé la vidéo sur une adresse Mail, j’ai toujours de quoi te faire chanter, alors ces 500 €.

Il les sort de sa poche et me les donnent, je me mets en levrette comme maman et dans les minutes suivantes, il me dépucelle pour les quelques billets donnés par maman, le tout sur le tapi frère du nôtre.

• Va te laver la queue, elle est maculée de mon sang, tu te souviens de ce que je t’ai dit, 500 € chaque fois que tu voudras me baiser.

Je me suis habillée et je suis rentrée dans ma chambre, je sors mon ordi portable, le film est là bien au chaud, je passe le reste de l’après-midi à peaufiner ma vengeance et à réviser l’épreuve importante de demain.

• Maman, vendredi après-midi, réserve ton temps, je t’emmène pour te faire une surprise, j’aurais mis des affaires pour toi sur ton lit.
• Tu m’intrigues ma fille !
• N’essaye pas de savoir, je t’expliquerais en temps et en heure.

Le vendredi, on frappe à ma porte.

• Émeraude, pourquoi cette tenue à la limite de l’indécence.
• Regarde mon portable et tu comprendras, tu as cinq minutes pour descendre, je t’attendrais sur le banc face à notre porte, sinon mon père recevra un Mail avec ce film où tu payes mon fiancé pour qu’il te baise.

• Ma chérie, si j’ai fait cela, c’est à cause de ton père, après ma grossesse où tu es née, il a refusé de faire l’amour avec moi, j’ai eu des amants comme lui a sa secrétaire pour maîtresse.
Un jour Christophe est venu me dire qu’il avait une dette de jeu et ma demandée de le dépanner pour taire cette dette à sa mère, il la craint.
J’ai vu l’ouverture, je me suis laissé prendre au piège de sa jeunesse, aucun homme ne m’ayant aussi bien fait l’amour que lui.
• Je t’attends en bas, cinq minutes, nous avons rendez-vous.

Nous prenons le taxi que j’ai commandé et je lui indique une direction.

• Arrêtez-nous là.

Nous descendons, et je rentre dans un bar.

• Messieurs, merci d’être à l’heure, je vous appréciais en vidéo sur mon portable, je dois reconnaître que vous êtes mieux au naturel.
• C’est elle que l’on doit baiser !
• Oui si vous avez fait le nécessaire pour la chambre !
• Dans l’hôtel voisin.
• Alors venez, la chatte de cette salope doit dégouliner d’envies, tenez, 250 € à chacun de vous comme prévu, j’ai hâte de voir cette salope entre vos pattes se faire prendre par vos deux verges.
• Chérie, pourquoi me fais-tu tant de mal !
• Réfléchie, n’est crainte, ces messieurs sont d’accord pour après t’avoir baisé, me donner 500 € à la pute que tu as faite de moi en me piquant mon fiancé.

J’ai épousé Christophe, comme prévu, il me paye 500 € chaque fois qu’il veut me sauter, ajouté à cela, tous les amants que je paye à ma mère avant de récupérer l’argent, je suis devenue une parfaite prostituée jamais a cours de client grâce à Internet.

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